7 Français sur 10 sont victimes d’une dégradation de leur pouvoir d’achat, d’après les sondages faits par le sondage de l’IFOP. Cette situation est tracée depuis le début de Macron au pouvoir.
Plus d’un cinquième de la population ne constate aucun changement. Tandis que 6 % seulement ressentent des améliorations. Quel que soit le constat, il est clair que les mesures gouvernementales entreprises jusqu’ici ont une réelle répercussion sur le quotidien des ménages, notamment à la finance.
Taxes alourdies, un chômage à la hausse, un pouvoir d’achat faible
Les réformes se sont multipliées depuis le préside d’Emmanuel Macron. La CSG a été revue à la hausse dès le début de l’année. Elle provoque ainsi la diminution du niveau des retraites en euros courants. Il y a également les taxes sur les carburants, du tabac et du gaz. Ces dernières qui ont connu aussi une flambée impressionnante.
Les victimes de ces réformes ne peuvent être que les ménages modestes. Ces derniers se mobilisent autant qu’ils le peuvent. Et Pôle Emploi enregistre déjà près de 6 millions d’inscrits depuis la hausse de 0,4 %. Les demandeurs d’emploi se font cependant rares à intégrer le monde professionnel avec un nombre moindre à hauteur 15 000 seulement parmi les quelques 3 millions de demandeurs. C’est le cas pour ceux qui ne sont pas encore en emploi.
Mais les salariés subissent, quant à eux, une baisse des revenus perçus sur chaque mois. Ces derniers sont trop justes et n’arrivent à payer que les loyers. Des déplacements pour rejoindre les lieux de travail seront même anticipés à l’avenir.
Une augmentation du taux de chômage
Le taux de chômage a déjà augmenté durant la période estivale. Les économistes envisagent encore un mouvement de la même nature dans les mois à venir. Cet avenir proche ne peut que dégrader le pouvoir d’achat de nombreux Français.
De plus, l’Insee renforce l’importance de la situation de crise à travers la publication d’un chiffre. Un chiffre qui démontre une progression de 0,3 % des prix de production de l’industrie et un total de 3,5 % sur un an. L’explosion des prix du carburant est derrière cette dépense. Et elle impactera directement les ménages puisque les grandes firmes sont contraintes de faire des gestes financiers. En effet, entre deux années, le prix du gazole et de l’essence a transité respectivement de 23 et de 15 %. Ce qui est très pesant pour les ménages, autant que pour les entreprises. Pourtant, l’heure à l’hiver et au grand froid, la subvention en fioul est de rigueur. Alors que son prix est connu doublé dans l’année courante.
Des solutions sont ainsi proposées par les professionnels de la finance. C’est le regroupement de crédits qui peuvent nettement alléger les endettements puisque les ménages tomberont forcément dans cette situation. Leurs prêts en cours seront ainsi migrés vers un nouveau contrat. Cela afin de réduire les mensualités et survivre le temps que la situation se stabilise. Surtout, lorsque le pouvoir d’achat suffit à prendre la totalité des charges. Les banques sont à solliciter dans ce cas.